Le wokisme est dépassé ! Tu connais la signification du yukisme ?

17 min read
0
Group of men in diverse costumes outside

Qu’est-ce que le yukisme ? Une plongée dans le marécage de la pensée humaine

Pour comprendre le yukisme, il faut oser s’aventurer dans les recoins les plus sombres de la pensée humaine. Les yukes ne sont pas simplement mal informés. Ils sont en colère, aigris… et fiers de l’être ! Ils se nourrissent de ressentiment et vivent dans le passé. Ils carburent aux mythes, aux théories du complot et à une nostalgie fantasmée. Le yukisme, c’est l’idéologie de ceux qui ne supportent pas que le monde avance sans leur autorisation.

Le yuke n’est pas toujours facile à identifier au premier regard. Parfois, il porte du cuir et se prend pour un rebelle. Parfois, il cite la Bible entre deux diatribes sexistes. Il peut crier à la défense des « valeurs occidentales » tout en relayant de la propagande russe. Parfois, c’est une trade wife qui prêche la soumission sur Instagram, un incel frustré qui accuse le féminisme de ses échecs amoureux, ou un biker gueulard qui pense que la cancel culture est plus grave que le dérèglement climatique.

Ce qui les rassemble est limpide : ils hurlent à la liberté d’expression… mais uniquement quand ça les concerne. Dès qu’une femme, une personne queer, un·e immigré·e ou un·e scientifique ouvre la bouche, ils crient à la censure. Ils confondent contradiction et oppression et transforment toute vérité dérangeante en soi-disant menace contre la civilisation.

Le yuke, c’est cet oncle gênant que l’on est obligé d’inviter à Noël. Tu vois bien lequel. Trois bières dans le nez et il part en roue libre sur l’immigration, le féminisme, les LGBTQI+ « contre-nature »… Il se croit brillant. Il cite des podcasts qui lui résument le monde en cinq minutes, parce que lire, c’est pour les marxistes. Il est persuadé que le progrès est une menace, que l’empathie est une faiblesse et que les faits sont « juste des opinions d’élites ».

Le yukisme, ce n’est pas juste de l’ignorance. C’est de l’ignorance qui veut gouverner.

Le “wokisme” : un mot creux inventé pour faire peur aux imbéciles

Soyons clairs : le wokisme n’est pas une idéologie. Ce n’est pas non plus un mouvement, ni un programme et ce n’est certainement pas une menace. C’est un mot inventé de toutes pièces, balancé à la va-vite par des gens incapables de le définir, même sous la torture 🙂 Ça sonne sérieux, presque intellectuel… mais c’est du vent. Une étiquette bas de gamme, taillée sur mesure pour déclencher l’indignation et éviter toute réflexion.

À l’origine, le mot “woke” ne vient pas de la politique. C’est un mot né dans les communautés afro-américaines. “Stay woke” voulait dire : reste vigilant, garde les yeux ouverts face à l’injustice, au racisme et à la violence sourde tapie dans le système. C’était juste un appel à la lucidité, pas une marque déposée. Mais comme toujours, la droite s’est empressée de le salir. Elle a pris un mot innocent qui parlait de conscience et en a fait une insulte. En espérant que personne ne remarque le comble de cette ironie.

Et c’est là que les yukes entrent en scène. Les yukes ont la phobie de la nuance. Ils veulent un monde binaire : les gentils d’un côté, les méchants de l’autre, des gagnants et des “fragiles”… Alors, quand ils entendent “woke”, ils ne comprennent pas “conscient”. Ils entendent “danger”. Dans leur tête, être woke, c’est interdire Noël, bannir le jambon et forcer les enfants à lire de la poésie queer sous la menace d’un fusil.

Évidemment, rien de tout ça n’existe. Mais les yukes et la réalité, ça fait deux. Ils préfèrent les mèmes aux faits, les sensations aux idées et la peur à la compréhension. Ils ont pris un mot qui servait à élever les consciences et l’ont traîné dans leur guerre culturelle fangeuse jusqu’à le rendre vide de tout sens.

Alors, la prochaine fois que quelqu’un te parle de “wokisme”, demande-lui ce que ça veut dire. Observe son cerveau cramer pendant qu’il bafouille un truc sur les émotions, les pronoms ou les lattés au soja. C’est comme demander à un platéiste d’expliquer la gravité. Tu connais déjà la chute.

Si être woke signifie avoir du cœur, alors oui ! Je plaide coupable.

Honnêtement, je ne sais toujours pas ce que le mot “woke” est censé vouloir dire dans la bouche d’un yuke. Chaque fois que je demande une définition, je me retrouve face à une salade de mots différente : un jour les drag queens, un autre les pailles en papier ou le soi-disant grand remplacement… Alors plutôt que d’essayer de comprendre ce que c’est, j’ai préféré me pencher sur ce que ça n’est clairement pas.

Prenons les choses dans l’ordre. Si un yuke me traite de woke, c’est sans doute parce que je ne suis pas raciste. Parce que je me soucie de l’environnement. Parce que je pense que chaque être humain mérite les mêmes droits, quels que soient son genre, ses origines ou la personne qu’il ou elle aime. Parce que je suis opposé à la violence et que je considère que l’empathie n’est pas une faiblesse. Franchement, je craignais d’être un parfait connard… mais grâce aux yukes, j’ai maintenant la confirmation que je ne suis qu’un connard moyen. Et c’est plutôt rassurant 🙂

Alors si je ne rentre pas dans leur définition du yuke, si je ne suis ni amer, ni parano, ni allergique aux faits ou à la gentillesse, qu’est-ce que ça fait de moi ? Peut-être que “woke”, ce n’est pas une insulte. Peut-être que ça désigne simplement une série de valeurs morales fondamentales et plutôt décentes.

Faisons le point. Est-ce que je soutiens le droit des femmes à disposer de leur corps ? Oui. Est-ce que je pense que les personnes LGBTQI+ devraient vivre en sécurité et en liberté ? Bien sûr. Est-ce que je crois que la croissance économique infinie est incompatible avec les limites de la planète ? Évidemment. Est-ce que je veux que les enfants grandissent dans un monde plus juste, plus intelligent et plus ouvert que celui dans lequel je suis né ? Sans la moindre hésitation.

Et si tout ça fait de moi un “woke”, alors j’en fais une marque d’honneur. Très sérieusement, je suis prêt à me tatouer “woke et fier de l’être” sur le front si ça peut aider à clarifier les choses 😀

Alors merci, chers yukes. Merci pour le compliment involontaire. Et merci à mes parents aussi de m’avoir appris à respecter les autres, à écouter avant de juger et à trouver de la beauté dans les cultures qui ne sont pas les miennes. De m’avoir transmis cette idée simple : la gentillesse n’est pas une faiblesse. Et la Terre sur laquelle nous marchons ne nous appartient pas.

Au final, “woke” n’est pas l’insulte qu’ils croient. C’est juste ce à quoi ressemble un être humain à peu près évolué au XXIe siècle.

Les yukes détestent la nuance. Ils veulent des ennemis, pas des réponses.

Pour comprendre vraiment le yukisme, il faut commencer par ses fondations. Et la première, c’est la violence. Les yukes l’adorent. Violence physique, agressions symboliques, insultes répétées… et tout ce qui leur permet de se sentir dominants sans avoir à réfléchir. Face au désaccord, leur réflexe n’est pas le dialogue. C’est hurler, bousculer, humilier ou faire taire. Car au fond, ce qu’ils redoutent le plus ce n’est pas d’avoir tort : C’est de devenir insignifiants.

Les yukes fuient l’échange d’idées comme les vampires fuient la lumière. Débattre ? C’est pour les élites. Lire ? Pour les gauchistes. Se remettre en question ? Faiblesse. Ils préfèrent cogner un mur que remettre une croyance en cause. Ce n’est pas qu’ils sont incapables de penser. C’est qu’ils n’ont jamais appris à vivre sans être au centre de l’univers.

Tout dans le yukisme suinte l’insécurité. Le ton bravache, la paranoïa, l’obsession d’être “réduits au silence” alors qu’ils monopolisent tous les plateaux possibles. Mais c’est une façade. Ces gens ne savent pas qui ils sont s’ils n’ont personne à invectiver. Leur identité est une galerie de miroirs faite uniquement de colère.

Au fond, le yuke est un petit tyran. Ni visionnaire, ni rebelle, ni meneur. Juste un ego bruyant et friable en quête de cibles à écraser. Il confond autorité et force, cruauté et courage. Mais quand on regarde de plus près, ce que l’on voit, ce n’est pas de la puissance. C’est de la panique maquillée en virilité.

Et soyons clairs : on n’est plus seulement face à des insécurités ou à des égos mal cicatrisés. À ce stade, le yukisme ressemble à un bug mental généralisé. Les yukes voient des wokistes partout : derrière chaque livre de bibliothèque, sous chaque drapeau arc-en-ciel, cachés dans chaque voiture électrique… On dirait qu’ils ont une radio interne bloquée sur une station qui hurle en boucle des menaces imaginaires. Les pronoms ! Les pailles en papier ! Les éoliennes !

Les experts en santé mentale le répètent en boucle : les troubles psychiques risquent d’être la grande épidémie du XXIᵉ siècle. Eh bien la voici : le yukisme dans toute sa logique paranoïde. Ce n’est pas une position politique. Ce n’est même pas une vision du monde. C’est une spirale d’angoisse et de projections entièrement auto-infligée.

Et le pire, c’est que les yukes commencent par empoisonner leur propre vie bien avant de s’en prendre à celle des autres. Ils troquent les petits plaisirs de la coexistence contre une guerre permanente contre des ennemis imaginaires. Ils ne veulent pas faire partie du monde. Ils veulent croire qu’ils sont les derniers à avoir toute leur tête. Et il n’y a rien de plus solitaire, ni de plus triste, que ça.

Alors, c’est qui exactement les Yukes ? Réponse : Le pire casting imaginable.

Le yukisme n’est pas un courant structuré. C’est un groupe de soutien pour ceux qui voient l’empathie comme une menace et la décence comme un complot marxiste. Ses membres ? Un mélange improbable d’arnaqueurs, de fanatiques, de sociopathes et de boomers largués avec une connexion Wi-Fi défaillante.

On y retrouve un président-gourou à la mèche orange dont le lien avec la réalité est devenu un problème de santé publique mondial. Des milliardaires sous kétamine en plein délire de toute-puissance qui se prennent pour des champions de la liberté d’expression… tout en bannissant ceux qui osent souligner qu’ils racontent n’importe quoi. On y ajoute les fanboys des cryptos persuadés que le libertarianisme est une doctrine économique sérieuse, les platéistes qui pensent que Greta Thunberg est un reptilien et certains présentateurs de télé recyclés en prophètes de malheur pour boomers énervés.

Sans oublier, bien sûr, les néonazis et les nostalgiques du fascisme qui réclament « l’ordre et la liberté » dans la même phrase… parce que rien n’est plus logique que de vouloir une dictature où l’on est libre d’obéir 😀

On dirait qu’on a filé un micro à tout 4chan et qu’on a appelé ça une philosophie politique.

Et puis, il y a les intégristes religieux de toutes confessions confondues. Bible, Coran, Torah… à chacun son opium. Ce qui les rassemble, ce n’est pas la foi mais le rejet. Les textes qu’ils brandissent parlent de paix, d’humilité et de compassion. Mais leurs prêches ne sont que rage, peur, châtiment et obsessions de pureté. Leur religion n’est pas un chemin. C’est une arme braqué sur nos intimités.

Il va falloir, à un moment donné, tracer une ligne de séparation. Pas nécessairement entre les croyances ou les opinions. Mais entre les impostures et les personnes qui aspirent à vivre paisiblement sans rabat-joie.

LES IDÉES N’ONT AUCUN DROITS. SEULES LES PERSONNES EN ONT.

C’est tout. C’est la règle de base du vivre-ensemble. Tu as le droit de croire à ce que tu veux. Absolument tout. Mais à partir du moment où ton système de croyances devient un permis d’exclure, d’humilier ou de faire taire les autres : Ce n’est plus de la culture, ce n’est plus de la foi, ce n’est plus de la politique. Au final, c’est juste de la connerie concentrée.

Donc non, je ne dois rien à ton idéologie si elle piétine les droits fondamentaux inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. Pas même un soupçon de respect.

En dehors de leurs bulles médiatiques, les yukes ne trompent plus grand monde. Ils ont beau avoir des politiciens qui répètent leurs délires et des religieux qui justifient leur confusion morale, ça ne tient pas debout.

L’emballage peut encore séduire quelques crédules, mais l’odeur nauséabonde du produit devient de plus en plus difficile à ignorer.

Et tôt ou tard, il faudra bien regarder la vérité en face :
Le yukisme est juste une série Z à petit budget avec un casting de bras cassés.

La stratégie politique et commerciale derrière le mot “wokisme”

Le mot “wokisme” est peut-être stupide, mais ne te laisse pas avoir : il est redoutablement efficace. Rejet de l’autre, peur du changement, sentiment diffus de panique culturelle… chez beaucoup, ça tape très juste. Et ça crée de l’engagement. Les politiciens les plus cyniques l’ont bien compris. Ils n’ont pas besoin d’avoir un discours cohérent. Il leur suffit de provoquer une réaction.

Soyons honnêtes : le yukisme n’est pas qu’un outil politique. C’est un modèle économique à part entière. Il fait vivre tout un écosystème de pseudo-journalistes ringards, de faux experts et d’auteurs marginaux qui ne vendraient pas un bouquin sans cette fosse à indignation toxique. La recette est simple : faire peur, désigner un ennemi et vendre une illusion. Plus la peur est absurde, mieux ça marche. Et les yukes ? Ils achètent tout, tant que c’est emballé dans la rage et l’auto-justification. Certains vont même jusqu’à faire des dons !

Mais à qui profite cette arnaque ?

Tu l’as deviné : la classe privilégiée. Les milliardaires. On avait déjà Musk qui éructait contre le wokisme entre deux siestes sous kétamine. Maintenant, c’est Zuckenberg. Et chaque semaine, un nouveau venu s’aligne. Surprenant ? Pas du tout !

Quand tu vis dans un luxe indécent, pourquoi voudrais-tu changer le système ? Pourquoi accepter que ta richesse devrait être partagée et que tu dois quelque chose à celles et ceux qui galèrent dans le chaos dont tu profites ?

Et voici le twist final : le mouvement qui prétendait rejeter le système, qui disait représenter la colère des oubliés est devenu son meilleur allié. Le yukisme se fait passer pour une révolte, mais ce n’est qu’un camouflage. Du capitalisme déguisé qui transforme la peur en profit et la souffrance en pouvoir.

Comment on en est arrivés là ? Facile : Les gens sont en colère. Ils ont peur. Ils voient leurs revenus chuter, leurs loyers exploser, leurs logements disparaître. Ils ne savent plus à qui faire confiance… Et c’est là que la machine intervient. Boum ! C’est l’heure de la diversion. Un réseau pédophile satanique dans une pizzeria. Une élite secrète qui boit le sang des enfants. Les vraies menaces ? Les éoliennes ! Vite, retour au charbon !

Et à chaque fois, des milliers de naïfs tombent dans le panneau. Encore et encore. Parce qu’il est plus facile de croire en l’existence d’un méchant de dessin animé que d’affronter la lente violence de l’injustice sociale.

Et qui vient “sauver” les yukes de tous ces démons et lézards ? Les mêmes milliardaires qui possèdent les médias, les réseaux sociaux… Bref, les plateformes où ces délires sont injectés directement dans ton cerveau.

La politique a toujours été sale

Mais là, on touche le fond de la cuvette. Il n’y a plus de débat, plus de fond. Juste une parodie grotesque de démocratie où des politiciens populistes n’ont besoin d’aucun programme. Et spoiler : ils n’en ont aucun. Ce qu’il leur faut c’est une cible facile. Quelqu’un à cogner en public pour paraître virils. Une rumeur dégueulasse à répandre sur quiconque ose penser autrement. Puis ils laissent la merde circuler pour mieux la ressortir plus tard comme si elle venait “du peuple”.

Débattre avec un yuke c’est comme foncer tête la première dans un tas de fumier. Et c’est là le piège : On ne peut pas les affronter proprement. Ils t’embarquent dans la merde puis ils t’accusent de puer.

Pourquoi ça continue de marcher ? Parce que personne ne riposte. Parce qu’ils intimident. Parce qu’ils sont imprévisibles. Parce qu’ils se pavanent comme des mafieux. Parce qu’on nous dit qu’il faut les traiter avec respect.

Eh bien, ça suffit !

Il est temps d’arrêter de céder du terrain ! Il est temps de défendre les avancées sociales. De démonter chaque fake news, chaque campagne de diffamation et chaque récit manipulateur déguisé en opinion.

Plus de politesse face à ces terroristes de la morale persuadés d’être des héros. Plus de compromis pour protéger leur vision du monde fragile et répugnante.

C’est un combat. Et la seule manière de le gagner, c’est de dévoiler le yukisme pour ce qu’il est vraiment : une arme de distraction massive conçue pour empêcher les enragés, les perdus et les désespérés de retourner leur colère contre ceux qui les ont réellement trahis.

Woke et fier de l’être : se réapproprier le mot pour exposer les Yukes

Maintenant que les choses sont claires, les Yukes peuvent m’appeler “woke” autant qu’ils veulent. Je leur dirai merci à chaque fois. Et en retour, je les appellerai comme ils le méritent : des Yukes ! Parce qu’honnêtement, quand je vois leur vulgarité, leur mépris et leur paresse intellectuelle, le premier mot qui me vient à l’esprit c’est “Yuck” qui signifie « Beurk » en anglais. Ce qu’il leur va comme un gant.

Ça peut paraître anodin, mais c’est important. On a enfin un mot pour riposter. Un mot pour contrer les mensonges, la manipulation et la haine. Et surtout, on a réhabilité “woke” dans son sens originel : lucidité, bienveillance et volonté d’avancer.

Ce n’est qu’un début. Dans les semaines à venir, on va continuer à démonter les conneries une par une. On ne va pas se reposer pour dévoiler le vrai visage du yukisme, avec des faits, de la clarté et du style. Reste à l’écoute, avec les yukes on est jamais à court de mauvaises blagues 😉

Si tu es woke, j’espère que ce texte t’aura éclairé (et peut-être fait sourire). Et si tu es un Yuke… eh bien, il n’est jamais trop tard pour grandir. On est tous coincés sur la même planète, pendant que les catastrophes écologiques s’enchaînent et que les inégalités explosent. Se taper dessus ne réglera rien. La droite et la gauche sont les deux faces d’une même pièce qui ne mène nulle part. Ce qui compte aujourd’hui, c’est d’avancer. Ensemble. Avec le courage de réparer ce qui est cassé.

Envie de réagir ? Viens en discuter sur le forum NovaFuture. C’est bien plus cool que les plateformes toxiques aux mains des milliardaires. Pas de pub et pas de pistage algorithmique. Juste des gens qui échangent, partagent et réfléchissent ensemble.

C’est tout pour aujourd’hui. Je pars me chercher un café pour recharger les batteries. Et si tu veux en offrir un (ou plusieurs) pour soutenir NovaFuture sur Buy Me a Coffee, on sera vraiment content 😊

Laisser un commentaire